Le samedi 20 juin, sous un ciel menaçant, nous prenons la ligne 3 du métro pour aller au centre de Pest (voir photos). Les avenues de la ville sont bordées d’immeubles aux façades architecturalement très diverses. Certains sont en bon état ; d’autres mériteraient un bon ravalement, en particulier le Parlement que nous avons trouvé bien terne.
Nous avons flâné dans des rues piétonnes et pris une pâtisserie, ainsi qu’un délicieux chocolat chaud à la crème dans l’incontournable salon de thé Gerbeau, véritable institution à Budapest.
Nous sommes entrés dans les thermes figurant sur l’album-photos et avons pu observer des hongrois en grande discussion dans un bassin alimenté par une eau thermale à 38°. Ils viennent s’y baigner hiver comme été. Cela manque dans nos métropoles !
Nous avons terminé notre balade par la traversée de la place des Héros et l’approche du château de Vajdahunyad. Ces monuments ont été inaugurés en 1886 pour commémorer les 1000 ans de la conquête magyare.
Observations particulières : il est bien agréable de circuler dans Budapest, où on n’a encore observé aucun embouteillage, où les avenues sont très larges et les transports en commun très nombreux et fréquents. Le métro n’est pas bondé. La ville semble très policée, y compris dans le métro où les contrôleurs sont omniprésents.
Le soleil est définitivement parti ; il pleut des cordes et le thermomètre a chuté de 20°.
Dimanche 21 juin : nous rejoignons un autre quartier de Budapest, nommé Buda et situé sur la colline du Château. Nous nous promenons dans de belles rues aux maisons plus anciennes et bigarrées, autour du Bastion des Pêcheurs et autour du Palais royal, d’où nous avons de belles vues sur l’autre partie de Budapest, Pest.
Nous déjeunons ensuite chez un très sympathique collègue qui possède un bel appartement avec vue imprenable sur le Danube et le Parlement. Nous finirons la journée par une balade nocturne pour voir les illuminations de la ville. Aucune animation particulière ; les gens de Budapest semblent s’être calfeutrés ; seuls quelques touristes arpentent encore les rues et avenues. Il faut dire que le thermomètre est au plus bas.
Par ici les photos ! - Deuxième Partie
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